Cette maison qui, autrefois, résonnait des éclats de rires et des murmures doux de la vie quotidienne, est désormais enveloppée d'une brume épaisse, une brume de souvenirs douloureux et de chagrin incessant. C'était la maison du bonheur, celle où j'ai grandi, entouré de l'amour silencieux de mes parents, où chaque recoin respirait la joie de vivre. Mais tout a changé. Depuis leur départ, la maison est devenue le symbole du malheur. L'endroit qui était autrefois lumineux et accueillant est maintenant plongé dans une nuit éternelle. La lumière a quitté ces murs le jour où mes parents sont partis. Chaque pièce est imprégnée d'une tristesse palpable, chaque meuble porte la marque de leur absence. L'angoisse m'envahit à chaque pensée de cette maison, comme si une main invisible serrait mon cœur. En fermant les yeux, je revois les jours heureux, mais ces souvenirs sont maintenant recouverts d'un voile gris, ternis par la douleur de la perte. Les éclats de ...